Lumière, 2020
installation vidéo interactive - dimensions variablesPrésenté dans le cadre de l’exposition Banc d’essai, Galerie des arts visuels, Québec, 2021
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Lumière est une installation interactive mettant en relation le corps et la vidéo en tant que medium. Concrètement, l’installation gravite autour d’un objet : une plaque transparente. D’un côté de celle-ci se trouve une caméra, un projecteur ainsi que des ampoules, toutes pointant vers ladite plaque. Le projecteur renvoie l’image vidéo captée en direct par la caméra. De l’autre côté se trouve le.a participant.e dont l’image est projetée sur la plaque. Plus cellui-ci s’en approche, plus la lumière émanant des ampoules s’intensifie, jusqu’à blanchir complètement l’image, voire aveugler légèrement le.a regardeur.euse.
Se confrontant à l’intensité grandissante de la lumière, la vision du participant.e est abruptement obstruée. Il ne s’agit plus pour lui.elle de comprendre une image par les yeux, mais plutôt de regarder un florilège d’informations photoniques jusqu’à en être saturé. Par ailleurs, la variation de l’intensité des ampoules révèle le caractère essentiel du projecteur : émettre de la lumière. Plus cette intensité augmente, plus l’image virtuelle tend à (re)devenir ce qu’elle est réellement : un amalgame de projections luminescentes.
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Lumière est une installation interactive mettant en relation le corps et la vidéo en tant que medium. Concrètement, l’installation gravite autour d’un objet : une plaque transparente. D’un côté de celle-ci se trouve une caméra, un projecteur ainsi que des ampoules, toutes pointant vers ladite plaque. Le projecteur renvoie l’image vidéo captée en direct par la caméra. De l’autre côté se trouve le.a participant.e dont l’image est projetée sur la plaque. Plus cellui-ci s’en approche, plus la lumière émanant des ampoules s’intensifie, jusqu’à blanchir complètement l’image, voire aveugler légèrement le.a regardeur.euse.
Se confrontant à l’intensité grandissante de la lumière, la vision du participant.e est abruptement obstruée. Il ne s’agit plus pour lui.elle de comprendre une image par les yeux, mais plutôt de regarder un florilège d’informations photoniques jusqu’à en être saturé. Par ailleurs, la variation de l’intensité des ampoules révèle le caractère essentiel du projecteur : émettre de la lumière. Plus cette intensité augmente, plus l’image virtuelle tend à (re)devenir ce qu’elle est réellement : un amalgame de projections luminescentes.
Banc d’essai, 2021 - Crédit photo: Michel Boucher
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